Une réunion avec l’administration s’est tenue le 23 novembre pour évoquer le bilan de la fermeture des sites le 31 octobre avec reconduction les 26 et 30 décembre.
Notre mobilisation a payé : la DSAF a accepté de revenir sur les deux jours de congés / RTT / rattrapage d’heures qu’elle voulait imposer les 26 et 30 décembre.
La Direction a présenté l’impact de la fermeture des sites sur la consommation énergétique des bâtiments (1% des 10% escomptés sur la facture d’électricité).
Nous avons aussi fait état de notre bilan : suite à la consultation des agents, il est ressorti un mécontentement général quant aux jours imposés en contrepartie de la fermeture des sites.
Mais attention : la DSAF prévoit de reconduire la mesure en 2023 avec un délai de prévenance plus acceptable mais en revanche sans avoir annoncé le nombre de jours de congés/ RTT imposés (Dixit la DSAF, les textes ne limitent pas le nombre de ces jours imposés).
Quant à notre position : nous resterons attachés à ce que la fermeture éventuelle des sites, si elle est décidée, ne pénalise pas les agents.
La fermeture des sites nous semble dérisoire générant finalement peu d’économies d’énergie en volume au regard des efforts nationaux à consentir.
Nous continuerons à préconiser des solutions durables avec une véritable stratégie de sobriété pour répondre aux tensions actuelles sur les énergies fossiles, et plus largement, une véritable politique de transition écologique et de lutte contre le réchauffement climatique.
La charge de la sobriété énergétique ne doit pas reposer sur les agents, comme nous l’avons déjà signifié dans le tract de la CGT et Solidaires distribué le 13 novembre (cf. pièce jointe).
Vos représentants CGT et Solidaires
Cette décision doit se décliner dans les différents services : c’est déjà le cas à la DILA qui annule également la fermeture de ses sites les 26 et 30 décembre ainsi que le 2 janvier.